LIBERTE Comme si dans ma tête était un nuage Embrumant de mes idées les rouages Dans ce froid cisaillant Cette brume appelait le néant Puis, je me suis éveillé, J’ai inspiré ma force d’exister Qui pourrait fendre l’épaisseur A l’aide d’une nouvelle torche...

J'ai décidé de m'attaquer aux deux plus important mots de la langue françaises, qui traduits le sont aussi pour l'Anglais, l'Italien, l'Allemand, l'Arabe, le Chinois et le Tagalog. Etre et Avoir. Tant de dialectistes ont essayé en vain de savoir pourquoi...

je n'aurais pas eu à faire ça dans une société vraiment libre, mais il s'agit d'un article employant l'ironie, tout ce qui y est dit n'est pas à faire, il sert à faire réfléchir sur la société qu'on a nous même créé et sur les origines moins génétique...

encore une nuit à guetter languissant ton arrivée encore une nuit où mes pensées, où ma foi ont fabriqué des rêves qui ne ressemblaient qu'à toi j'aimerai te voir.... une autre fois j'aimerais bien croire.... que tu pense à moi, là bas... je n'ai pas...

j'aimerai parfois tout oublier pour tout revivre, tout effacer pour tout recréer... tout enflammer pour tout sublimer, tout bruler pour tout réécrire, recommencer avec un nouveau chemin, ce qu'autrefois je n'ai su faire de mes mains classer les hYstoires...

L’amour est aussi froid que le 14 février, Où des flocons cupides et mordants tombent Et échouent sur mon visage pâle et glacé, Où solitaire une larme coule, gèle et m’aveugle Et j’entends les sons au loin, camouflés Mais toujours assourdissant des pleurs...